Appel aux dons pour l’Ukraine


Veuillez ne rien déposer à St-Ferréol. Merci.

Un appel aux dons est lancé.
Vous pouvez les apporter directement à La chapelle Saint-Jean-du-Désert (65 Chemin de la Parette, Marseille 11ème), chapelle de l’église greco-catholique ukrainienne.
Voici les produits que vous pouvez amener :
Vêtements chauds :
Gants, Imperméables, Bonnets,
Sac à dos, Bottes en caoutchouc,
Petit matériel de première nécessité :
Lampes de poche, Briquets, Piles,
Rallonges électriques, Générateurs, Chargeurs
Sac de sable,
Produits pharmaceutiques :
Adrénaline, Bétadine, Analgésiques,
Garrots, Anti douleur, Hémostatique, Stop saignement,
Bandages élastiques, Antibiotique, Doliprane, Bandage stérile,
Seringues, Anesthésique
Produits alimentaires qui se conservent longtemps :
biscuits, conserves…

Merci de séparer dans des sacs différents les produits électriques ou divers, les affaires chaudes, les produits alimentaires et les produits pharmaceutiques.

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Message du pape : carême 2022

« Ne nous lassons pas de faire le bien, car, le moment venu, nous récolterons, si nous ne perdons pas courage.
Ainsi donc, lorsque nous en avons l’occasion, travaillons au bien de tous » (
Gal 6, 9-10a) 

Chers frères et sœurs,

Le Carême est un temps propice de renouveau personnel et communautaire qui nous conduit à la Pâques de Jésus-Christ mort et ressuscité. Pendant le chemin de Carême 2022 il nous sera bon de réfléchir à l’exhortation de saint Paul aux Galates : « Ne nous lassons pas de faire le bien, car, le moment venu, nous récolterons, si nous ne perdons pas courage. Ainsi donc, lorsque nous en avons l’occasion (chairós), travaillons au bien de tous » (Gal 6, 9-10a). 

1. Semailles et récolte
Dans ce passage, l’Apôtre évoque l’image des semailles et de la récolte, si chère à Jésus (cf. Mt 13). Saint Paul nous parle d’un  chairos : un temps propice pour semer le bien en vue d’une récolte. Quelle est cette période favorable pour nous ? Le Carême l’est, certes, mais toute l’existence terrestre l’est aussi, et le Carême en est de quelque manière une image [1]. Dans notre vie la cupidité et l’orgueil, le désir de posséder, d’accumuler et de consommer prévalent trop souvent, comme le montre l’homme insensé dans la parabole évangélique, lui qui considérait sa vie sûre et heureuse grâce à la grande récolte amassée dans ses greniers (cf. Lc 12 ,16-21). Le Carême nous invite à la conversion, au changement de mentalité, pour que la vie ait sa vérité et sa beauté non pas tant dans la possession que dans le don, non pas tant dans l’accumulation que dans la semence du bien et dans le partage. 
Le premier agriculteur est Dieu lui-même, qui généreusement « continue de répandre des semences de bien dans l’humanité » (Enc. Fratelli tutti, n. 54). Pendant le Carême, nous sommes appelés à répondre au don de Dieu en accueillant sa Parole « vivante et énergique » (He 4,12). L’écoute assidue de la Parole de Dieu fait mûrir une docilité prête à son action (cf. Jc 1,21) qui rend notre vie féconde. Si cela nous réjouit déjà, plus grand encore est cependant l’appel à être « des collaborateurs de Dieu » (1 Co 3, 9), en tirant parti du temps présent (cf. Ep 5, 16) pour semer nous aussi en faisant du bien. Cet appel à semer le bien ne doit pas être considéré comme un fardeau, mais comme une grâce par laquelle le Créateur nous veut activement unis à sa féconde magnanimité. 
Et la récolte ? Ne sème-t-on pas en vue de la récolte ? Bien sûr. Le lien étroit entre les semailles et la récolte est réaffirmé par saint Paul lui-même, qui affirme : « À semer trop peu, on récolte trop peu ; à semer largement, on récolte largement » (2Co 9, 6). Mais de quelle moisson s’agit-il ? Un premier fruit du bien semé se retrouve en nous-mêmes et dans nos relations quotidiennes, jusque dans les plus petits gestes de bonté. En Dieu, aucun acte d’amour, si petit soit-il, et aucune “fatigue généreuse” ne sont perdus (cf. Exhort. apost. Evangelii gaudium, n. 279). De même que l’arbre se reconnaît à ses fruits (cf. Mt 7,16-20), de même la vie remplie de bonnes œuvres est lumineuse (cf. Mt 5, 14-16) et apporte au monde le parfum du Christ (cf. 2 Co 2,15). Servir Dieu, sans péché, fait récolter des fruits de sainteté pour le salut de tous (cf. Rm 6, 22). En réalité, il ne nous est permis de voir qu’une petite partie du fruit de ce que nous semons puisque, selon le proverbe évangélique, « l’un sème, l’autre moissonne » (Jn 4, 37). C’est précisément en semant pour le bien d’autrui que nous participons à la magnanimité de Dieu : « il y a une grande noblesse dans le fait d’être capable d’initier des processus dont les fruits seront recueillis par d’autres, en mettant son espérance dans les forces secrètes du bien qui est semé » (Enc. Fratelli tutti, n. 196). Semer le bien pour les autres nous libère de la logique étroite du gain personnel et confère à nos actions le large souffle de la gratuité, en nous insérant dans l’horizon merveilleux des desseins bienveillants de Dieu. 

La Parole de Dieu élargit et élève notre regard encore plus, elle nousannonce que la véritable moisson est la moisson eschatologique, celle du dernier jour, du jour sans coucher du soleil. Le fruit accompli de notre vie et de nos actions est le « fruit pour la vie éternelle » (Jn 4, 36) qui sera notre « trésor dans les cieux » (Lc 12, 33 ; 18, 22). Jésus lui-même utilise l’image du grain qui meurt en terre et porte du fruit pour exprimer le mystère de sa mort et de sa résurrection (cf. Jn 12, 24) ;et Saint Paul la reprend pour parler de la résurrection de notre corps : « Ce qui est semé périssable ressuscite impérissable ; ce qui est semé sans honneur ressuscite dans la gloire ; ce qui est semé faible ressuscite dans la puissance ; ce qui est semé corps physique ressuscite corps spirituel » (1 Co 15, 42-44). Cet espoir est la grande lumière que le Christ ressuscité apporte dans le monde :« Si nous avons mis notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes. Mais non ! Le Christ est ressuscité d’entre les morts, lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis» (1 Co 15, 19-20), de sorte que ceux qui sont intimement unis à lui dans l’amour, « par une mort qui ressemble à la sienne » (Rm 6, 5), soient aussi unis dans sa résurrection pour la vie éternelle(cf. Jn 5, 29) : « Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père » (Mt 13, 43).        

2. « Ne nous lassons pas de faire le bien »
La résurrection du Christ anime les espoirs sur terre de la « grande espérance » de la vie éternelle et introduit déjà le germe du salut dans le temps présent (cf. Benoît XVI, Enc. Spe salvi, nn. 3. 7). Face à l’amère déception de tant de rêves brisés, face à l’inquiétude devant les défis qui nous attendent, face au découragement dû à la pauvreté de nos moyens, la tentation est de se replier sur son propre égoïsme individualiste et de se réfugier dans l’indifférence aux souffrances des autres. En effet, même les meilleures ressources sont limitées : « Les garçons se fatiguent, se lassent, et les jeunes gens ne cessent de trébucher » (Is 40, 30), mais Dieu « rend des forces à l’homme fatigué, il augmente la vigueur de celui qui est faible. […] Ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils déploient comme des ailes d’aigles, ils courent sans se lasser, ils marchent sans se fatiguer » (Is 40, 29.31). Le Carême nous appelle à placer notre foi et notre espérance dans le Seigneur (cf. 1 P 1, 21), car c’est seulement avec le regard fixé sur Jésus-Christ ressuscité (cf. He 12, 2) que nous pouvonsaccueillir l’exhortation de l’Apôtre : « Ne nous lassons pas de faire le bien » (Ga 6, 9).

Ne nous lassons pas de prier. Jésus a enseigné qu’il faut « toujours prier sans se décourager » ( Lc 18, 1). Nous devons prier parce que nous avons besoin de Dieu. Suffire à soi-même est une illusion dangereuse. Si la pandémie nous a fait toucher du doigt notre fragilité personnelle et sociale, que ce Carême nous permette d’expérimenter le réconfort de la foi en Dieu sans laquelle nous ne pouvons pas tenir (cf. Is 7, 9). Personne ne se sauve tout seul, car nous sommes tous dans la même barque dans les tempêtes de l’histoire [2]. Mais surtout personne n’est sauvé sans Dieu, car seul le mystère pascal de Jésus-Christ donne la victoire sur les eaux sombres de la mort. La foi ne nous dispense pas des tribulations de la vie, mais elle permet de les traverser unis à Dieu dans le Christ, avec la grande espérance qui ne déçoit pas et dont le gage est l’amour que Dieu a répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint (cf. Rm 5, 1-5). 

Ne nous lassons pas d’éliminer le mal de notre vie. Que le jeûne corporel auquel nous appelle le Carême fortifie notre esprit pour lutter contre le péché. Ne nous lassons pas de demander pardon dans le sacrement de la pénitence et de la réconciliation, sachant que Dieu ne se fatigue pas de nous pardonner [3]. Ne nous lassons pas de lutter contre la concupiscence, cette fragilité qui nous pousse à l’égoïsme et à tout mal, trouvant au fil des siècles diverses voies permettant de plonger l’homme dans le péché (cf. Enc. Fratelli tutti, n. 166). L’une de ces voies est le risque d’addiction aux médias numériques, qui appauvrit les relations humaines. Le Carême est un temps propice pour contrer ces écueils et cultiver plutôt une communication humaine plus intégrale (cf. ibid., n. 43), faite de « vraies rencontres » ( ibid., n. 50), face à face.

Ne nous lassons pas de faire le bien dans la charité concrète envers notre prochain. Au cours de ce Carême, pratiquons l’aumône avec joie (cf. 2 Co 9, 7). Dieu « fournit la semence au semeur et le pain pour la nourriture » (2 Co  9, 10) pourvoit à chacun d’entre nous, non seulement pour que nous puissions avoir à manger, mais aussi pour que nous puissions faire preuve de générosité en faisant du bien aux autres. S’il est vrai que toute notre vie est un temps pour semer le bien, profitons particulièrement de ce Carême pour prendre soin de nos proches, pour nous rendre proches de ces frères et sœurs blessés sur le chemin de la vie (cf. Lc  10, 25-37).Le Carême est un temps propice pour rechercher, et non éviter, ceux qui sont dans le besoin ; appeler, et non ignorer, ceux qui désirent l’écoute et une bonne parole ; visiter, et non abandonner, ceux qui souffrent de la solitude. Mettons en pratique l’appel à faire du bien envers tous en prenant le temps d’aimer les plus petits et les sans défense, les abandonnés et les méprisés, celui qui est victime de discrimination et de marginalisation (cf. Enc. Fratelli tutti, n. 193).   

3. « Nous récolterons si nous ne perdons pas courage »
Le Carême nous rappelle chaque année que « le bien, comme l’amour également, la justice et la solidarité ne s’obtiennent pas une fois pour toutes ; il faut les conquérir chaque jour » (ibid., n. 11). Demandons donc à Dieu la patiente constance du cultivateur (cf. Jc 5, 7) pour ne pas renoncer à faire le bien, pas à pas. Que celui qui tombe tende la main au Père qui relève toujours. Que celui qui s’est perdu, trompé par les séductions du malin, ne tarde pas à retourner à lui qui « est riche en pardon » (Is 55, 7). En ce temps de conversion, trouvant appui dans la grâce de Dieu et dans la communion de l’Église, ne nous lassons pas de semer le bien. Le jeûne prépare le terrain, la prière l’irrigue, la charité le féconde. Nous avons la certitude dans la foi que « nous récolterons si nous ne perdons pas courage » et que, avec le don de la persévérance, nous obtiendrons les biens promis (cf. He 10, 36) pour notre propre salut et celui des autres (cf. 1 Tim 4, 16). Pratiquant l’amour fraternel envers tous, nous sommes unis au Christ, qui a donné sa vie pour nous (cf. 2 Co 5,14-15) et nous goûtons d’avance la joie du Royaume des Cieux, quand Dieu sera « tout en tous » (1 Co 15, 28).

Que la Vierge Marie, du sein de laquelle a germé le Sauveur, et qui gardait toutes les choses « et les méditait dans son cœur » (Lc 2, 19), nous obtienne le don de la patience et nous soit proche par sa présence maternelle, afin que ce temps de conversion porte des fruits de salut éternel.

Donné à Rome, près de Saint Jean de Latran, le 11 novembre 2021, Mémoire de Saint Martin, Evêque.

FRANÇOIS


[1] Cf. Saint Augustin , Serm. 243, 9,8 ; 270, 3 ; Fr. dans Ps. 110, 1. 

[2] Cf. Moment extraordinaire de prière en temps d’épidémie (27 mars 2020).

[3] Cf. Angélus du 17 mars 2013.

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Homélie du mercredi des Cendres:Jl 2, 12-18 ;2 Co 5, 20 – 6,2 ; Mt 6, 1-6.16-18

 Les trois textes que la liturgie nous propose donne bien le ton pour nous mettre en route en ce début de carême. Nous avons l’habitude de les entendre particulièrement en temps de Carême.
Comment les entendre aujourd’hui à nouveau frais et comme Bonne Nouvelle ? En me mettant en route comme vous aujourd’hui pour ce temps de Carême, je me vois habité par trois mots en lien avec les Écritures.

Le premier mot, c’est « conviction ». Oui, accepter de vivre le carême en se mettant en route tant sur le plan personnel que communautaire relève de la conviction que Jésus nous attend pour nous accompagner, pas à pas, dans notre cheminement et notre croissance tant spirituelle qu’humaine. Le prophète Joël , dans la première lecture, nous rappelle bien une parole du Seigneur : « Revenez à moi de tout votre coeur ». Revenez !

Ces deux dernières années ont été éprouvantes pour un grand nombre d’entre nous, pour ne pas dire, pour nous tous, à cause de toutes sortes de restrictions sanitaires entraînant alors des conséquences socio-économiques désastreuses sans oublier des dizaines de milliers de victimes du Covid de chez nous et d’ailleurs.

Certains d’entre nous ont peut-être pris l’habitude de rester à la maison le dimanche soit pour assister à la télé la messe dominicale ou pour se reposer un peu plus… Les conditions n’étaient pas toujours réunies pour nous mettre en route et venir célébrer en communauté soit en semaine ou en week-end. Ou alors, quelqu’un a dû vivre une grande épreuve dans sa vie et n’a plus la force de se tourner vers le Seigneur, croyant qu’il était abandonné par lui. Le Seigneur lui, vous dit et nous redit, « revenez à moi de votre coeur ». Soyez les bienvenus ce soir !Tel est un message de joie que nous pouvons entendre en ce début de Carême !

Le deuxième mot qui m’habite, c’est « conversion ». Il est toujours bon de se redire que la conversion n’est pas une question d’être en règle avec le Seigneur, comme si pour être bien vu par Lui, en faisant bien sa prière, en vivant bien le partage, fruit de jeûne et de privation ! Tout cela est bon, certes, mais je crois que le Seigneur nous attend aussi à un autre niveau. La conversion est plutôt une question d’être en route, en chemin, seul ou avec d’autres en vue de nous ajuster à la Parole de Dieu et de nous présenter tel que nous sommes en sa présence ; nous ajuster à sa Parole qui va transformer nos vies et nous permettre de nous ouvrir au monde et aux autres. Alors, accueillons cette parole du Seigneur de la bouche de St Paul dans la seconde lecture : « Laissez-vous réconcilier avec Dieu ».

Après l’invitation, « revenez à moi de tout votre cœur », nous recevons, une seconde invitation, voir un bel encouragement, « laissez-vous réconcilier avec Dieu ». Il ne nous est pas dit, « réconciliez-vous avec Dieu »’ mais bien, « laissez-vous réconcilier avec Dieu » !

Frères et soeurs, la Bonne Nouvelle pour nous aujourd’hui est aussi de savoir que c’est Dieu qui prend l’initiative de nous inviter à nous tourner vers lui et prendre le chemin de la conversion. Nous recevons l’invitation de lâcher prise pour ne pas croire que c’est nous qui allons contrôler les résultats de notre conversion… Voilà un appel à entendre, celui de nous abandonner entre les mains du Seigneur pour le laisser nous indiquer les pas à faire, les moyens à prendre en vue d’être réhabilité dans son amour miséricordieux, en vue de bâtir ou de rebâtir des ponts de paix là où les relations ont été et sont rompues, là où les blessures sont encore vives.

A notre niveau, nous pouvons nous sentir impuissants, si ce n’est que par la prière et des gestes de solidarité, en rapport avec la guerre déclarée en Ukraine où la violence se répand de jour en jour et conduit à la mort.

Cette situation nous renvoie à nous-mêmes pour nous rappeler que la violence peut être aussi en nous et s’exprime de différentes manières. Nous pouvons agir pour changer la situation avec la grâce de Dieu.

Nous nous souviendrons de la suite de la seconde lecture où St Paul rappelle aux Corinthiens comme à nous aujourd’hui, « En tant que coopérateurs de Dieu, nous vous exhortons encore à ne pas laisser sans effet la grâce reçue de lui. »

Enfin le troisième mot que je retiens en ce début de Carême, c’est « renouveau ». La liturgie nous invite dans un élan de renouveau à la prière, au jeûne et au partage pour changer nos comportements, pour quitter nos vieilles habitudes stériles et trop conformistes par moment et pour grandir dans la fraternité en actes. Nous pouvons aussi entendre ce renouveau dans la démarche synodale à laquelle nous sommes conviés.

Le psaume 50 nous dit bien dans quel esprit nous pouvons vivre ce temps de Carême : « Renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit…

Et nous à St-Fé, nous vous proposons de cheminer à travers le thème « Ensemble, de passage en passage, vers Pâques ».
Le renouveau que nous cherchons à vivre pourrait être symbolisé par ce « gué de pierres » comme tremplin pour avancer, de passage en passage, vers et avec le Christ, la « Pierre angulaire » sur laquelle nous désirons fonder durablement nos vies et « voir toute chose nouvelle en Christ ». Avançons de semaine en semaine pour découvrir ces « pierres » à partir des propositions de Carême et de ce que nous proposera la liturgie dominicale. Amen.

Steves Babooram, sj
St-Ferréol, le 2 mars 2022

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